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JEMONDE, L'ESPRIT DES JEUX, 2024.icon

Solo Shows - Maison de Norvège

 

La Maison de Norvège présente du 26 juillet au 22 septembre 2024 l’exposition « JEMONDE, L’ESPRIT DES JEUX » de Maud Louvrier Clerc à la Cité internationale universitaire de Paris, labellisée Terre de Jeux. Le public y découvre une installation artistique in situ « JEMONDE x 2024 » et le mode d’emploi pour participer au jeu concours en ligne « 2024 X JEMONDE » dont le vainqueur gagnera l’œuvre JEMONDE GENESIS*.

« L’important, c’est de participer » (1) est la phrase qui résume par excellence l’esprit Olympique, qui se fonde sur une noble émulation visant la création d’une société pacifique. Cet esprit est aussi celui de la recherche-action JEMONDE de Maud Louvrier Clerc, qui invite chacun et chacune à expliciter sa manière de participer positivement à la marche du monde. La noble émulation visée par l’artiste avec JEMONDE est tournée vers la création d’un développement durable.

Pierre De Coubertin souligne que : « Le sport va chercher la peur pour la dominer,  la fatigue pour en triompher, la difficulté pour la vaincre ». JEMONDE cherche à révéler des conceptions du monde pour mieux l’appréhender et des engagements pour mieux le respecter.

JEMONDE est une exploration poétique de l’anthropocène qui a vocation à créer une paix durable à travers une meilleure compréhension de soi, de l’autre. Celle-ci se fonde sur la création de portraits d’âme. Un portrait d’âme se compose de 4 phrases à compléter : Je suis + votre prénom... / Je vis dans un monde… / Mon engagement... / Une phrase fétiche...

 

(1) Cette phrase est souvent attribuée Baron Pierre de Coubertin qui ne l’a pourtant pas énoncé exactement dans ses termes mais a bien affirmé son esprit le 24 juillet 1908 dans l’un de ces discours. Jean Durry, auteur, historien, et membre du Comité Coubertin, nous explique le contexte : lors d’un dîner offert par le gouvernement britannique, le 24 juillet 1908 à Londres au moment des Jeux Olympiques, Pierre de Coubertin s’’exprime ainsi : « Dimanche dernier, lors de la cérémonie organisée à la Cathédrale Saint-Paul en l’honneur des athlètes, l’évêque de Pennsylvanie, nous a rappelé en termes heureux, « l’important dans ces olympiades, c’est moins d’y gagner que d’y prendre part ». Retenons messieurs cette forte parole, l’important dans la vie ce n’est point le triomphe, mais le combat, ce n’est pas d’avoir vaincu, mais de s’être bien battu ». C’est une version simplifiée de ce discours « L’important, c’est de participer » qui est restée dans l'histoire.